Recruter dans les établissements publics nationaux : problématique et solution
Mise en ligne le lundi 29, mai 2023
Mise à jour le mercredi 14 août 2024
Comment optimiser les recrutements dans les établissements publics nationaux ?
Hôpitaux, centre de soins… Impossible de passer à côté : ces structures peinent à recruter du personnel soignant, c’est un fait. Mais qu’en est-il des organismes publics nationaux, des collectivités territoriales ou encore des universités ? On vous le dit tout net et sans surprise, l’enseignement public supérieur a lui aussi du mal à recruter ! Pourtant composés de nombreux métiers : juridiques, informatiques, mais aussi gestion, scolarité, finances, RH, les établissements publics nationaux souffrent d’une méconnaissance des métiers qui les constituent. Alors comment améliorer la qualité des recrutements ou trouver des candidats tout simplement ? Beetween vous donne quelques pistes de réponses !
Les grandes problématiques de recrutement dans les établissements publics nationaux
Le recrutement des contractuels est moins adapté au marché de l’emploi en ligne
La qualité des recrutements représente un enjeu crucial pour les recruteurs de la fonction publique. Cela, pour construire le service public de demain, et répondre aux enjeux des transformations multiples de nos sociétés contemporaines.
Alors oui, le recrutement dans le secteur public fait face à de nombreuses problématiques. En tête de file, le manque d’attractivité des postes vacants, parfois même une méconnaissance de ces métiers. Pour travailler dans la fonction publique, le passage d’un concours n’est pas toujours de mise.
L’Université et les écoles d’enseignement supérieur publics, ainsi que les hôpitaux, CH et CHU concentrent une grande variété de métiers, en dehors de ceux liés à l’enseignement ou au médical. C’est ainsi que le recrutement des contractuels, ou des BIATSS dans le milieu des Universités, est réalisé selon des procédures extrêmement spécifiques.
Et qu’est ce qui se cache précisément derrière l’acronyme BIATSS ? Tout simplement un ensemble de fonctions et de personnels de la Fonction publique composés de :
- B pour la filière Bibliothèques
- I pour les Ingénieurs
- A pour la filière Administratifs
- T pour les personnels Techniques
- SS pour Sociaux et de Santé (médecins, infirmiers, assistants sociaux…)
Lorsqu’on se penche sur le petit lexique de la fonction publique, on parle aussi de la filière ITRF (Ingénieurs et personnels Techniques de Recherche et de Formation) et de la filière ATSS (Administratifs Techniques Sociaux et de Santé), preuve s’il en est que les Universités sont loin d’être uniquement peuplées d’enseignants chercheurs et d’étudiants.
Et pourquoi cette spécificité du recrutement des contractuels est moins adaptée au marché de l’emploi en ligne ? 5 raisons majeures 👇
- publication manuelle des annonces
- obligations de réponses individuelles
- format spécifique des offres, incompatible avec le référencement sur les moteur de recherche tels que Google For Jobs, Indeed etc.
- multiplication des points de contact
- manque de visibilité des recruteurs
Recruter dans l’enseignement Supérieur Public
Des freins à la digitalisation des recrutements
Autres problématiques récurrentes : la pénurie de candidats, la concurrence du secteur privé et pour couronner le tout, un manque cruel de digitalisation des processus de recrutement qui ne permet pas aux agents de la fonction publique d’être efficaces dans leurs missions quotidiennes. Pourtant, qu’on se le dise, la digitalisation des recrutements offre justement la possibilité de gagner en agilité, et donc en performance et efficacité dans vos recrutements.
On ne le répètera jamais assez, les établissements d’enseignement supérieur publics font face à une concurrence accrue de la part de ceux qui ont mené une transformation en profondeur de leur processus de recrutement (coucou la digitalisation des recrutements !). Sans compter, bien entendu, que la pénurie de candidats ayant cours actuellement (et pour quelques années encore a priori…) rend le marché de l’emploi, de manière générale, hautement concurrentiel.
On vous en parlait précédemment (régulièrement en fait), les recruteurs aujourd’hui s’appuient largement sur le digital pour augmenter leurs performances. On pourrait même aller plus loin : les recruteurs publics se doivent d’être attractifs. Et pour cela, plusieurs solutions s’offrent à eux, et on vous le donne dans le mille, toutes ces solutions incluent en grande partie… la digitalisation ! Marque employeur travaillée, annonces d’emploi plus visibles, réponses aux candidats plus rapides, mode de recrutement interne à la fois plus efficace et plus réactif… autant de solutions à ces problématiques rendues possibles grâce à la digitalisation des recrutements.
Etes-vous suffisamment armé pour la guerre des talents ?
Quelles sont les solutions adaptées aux difficultés de recrutement des universités ?
Fort de notre expérience auprès des collectivités territoriales et des organismes de santé, nous avons su adapter notre outil de recrutement aux besoins spécifiques des Universités. Pour n’en citer que deux :
- digitaliser le recrutement afin d’automatiser les tâches administratives les plus chronophages
- se recentrer sur l’humain en soignant l’expérience candidats dans leurs parcours et les échanges avec les Directions Métiers
A titre d’exemple, il existe aujourd’hui environ 130 000 BIATSS (aussi appelé dans une moindre mesure filière ITRF ou ATSS) référencés entre le Ministère de l’Education Nationale et le Ministère de l’Enseignement et de la Recherche. En substance, ce que Beetween, en capitalisant sur son expérience auprès des établissements publics nationaux, tente de valoriser, c’est entre autres optimiser le recrutement des BIATSS et favoriser leur mobilité inter-université dans le cas d’un déménagement ou encore d’un suivi de conjoint.
Et si Beetween met un point d’honneur à travailler en priorité sur cette thématique, c’est tout simplement car cette problématique a été largement identifiée par bons nombres d’établissements ayant choisi de travailler main dans la main avec nos équipes afin d’améliorer leur visibilité et leur attractivité, tout en partageant les viviers de candidats constitués au fil du temps.
Dans les faits, le fonctionnement est très simple : chaque établissement dispose d’une plateforme Beetween qui lui est propre, et toutes bénéficient d’une CVthèque, d’un module de suivi des candidats ainsi que d’une brique de multidiffusion des offres. En effet, le logiciel de recrutement Beetween permet de diffuser vos annonces sur plus de 150 jobboards, en 1 clic et comprend l’optimisation du référencement naturel. Sans oublier le suivi des candidats, de la première prise de contact à l’embauche, et enfin, le partage des viviers de CV entre Universités. De quoi valoriser à la fois les recruteurs et leur marque employeur ! Le must ? Tout est pilotable via une interface intuitive et ergonomique, ce qui permet de faire gagner du temps aux recruteurs, afin de se concentrer sur le plus important : l’humain !
Infographie : Le recrutement dans les Organismes publics Problématiques et Solutions
Beetween, une solution de confiance pour les établissements publics nationaux
Retrouver de la visibilité et de l’attractivité, gagner du temps dans les process et le suivi des candidats, autant de problématiques bien connues des établissements publics nationaux, et que Beetween a bien compris. C’est pourquoi notre logiciel ATS propose une solution de recrutement digital et un accompagnement sur-mesure aux recruteurs des établissements du secteur public tels que les collectivités territoriales, les Universités ou encore les CH et CHU.
Au final, depuis trois ans, c’est plus de 150 établissements publics, des quatre coins de la France, qui ont choisi Beetween : Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, Rennes, Angers, Nantes, Toulon, Le Mans, Strasbourg, Lille, Toulouse, Chamonix, Caen…
Sans compter que les quatre Centres de Gestion de Bretagne, CDG 22 (Côtes d’Armor), CDG 29 (Finistère), CDG 35 (Ille-et-Vilaine), CDG 56 (Morbihan), sous l’impulsion de l’importance donnée à la digitalisation des recrutements, ont notamment développés DEN.BZH, la marque employeur qui fédère les collectivités territoriales en Bretagne. Aujourd’hui en ligne, la plateforme den.bzh centralise les offres et améliore leur visibilité. Les candidatures sont instantanément centralisées dans Beetween pour simplifier le suivi et réduire la durée de recrutement. Fruit d’une étroite collaboration avec l’Amue (Agence de mutualisation des universités et établissements d’enseignement supérieur ou de recherche), cette plateforme garantit ainsi l‘interopérabilité entre Beetween et le système de gestion RH Siham (Système d’Information des ressources Humaines dans une Approche Mutualisée) commun à toutes les structures publiques.
C’est ainsi qu’aujourd’hui, plus de 30 Universités et écoles du supérieur travaillent déjà avec la solution Beetween comme par exemple à Paris, Lyon, Aix-Marseille, Bordeaux, Rennes, Angers, Nantes, Toulon, Le Mans, Reims, Toulouse… Et bénéficient d’un accompagnement et d’une formation au logiciel, ainsi que d’un développement sur-mesure en fonction de leurs besoins et de leurs procédures propres.
Et puisque c’est encore nos clients qui en parlent le mieux… Voici le témoignage de Caroline Geffard, Responsable Recrutement et Mobilités Internes de l’Université d’Aix-Marseille :
Bonus : recrutement et fonction publique, une nouvelle fonctionnalité est à venir
Et on ne compte pas s’arrêter là ! Philippe de Rosnay et Christophe Dacre-Wright, co-fondateurs de Beetween travaillent depuis plus de 20 ans en partenariat avec de nombreuses entités du Secteur Public. Ils connaissent très bien cet environnement, et souhaitent mettre en avant certaines innovations afin de redorer l’image de ce secteur qui, dans l’inconscient collectif, n’est pas toujours vu à la pointe.
C’est pourquoi nous lançons en avant première avec les établissements publics qui le souhaitent, une fonctionnalité de partage et de ré-emploi de CV afin de favoriser les échanges de CV inter-établissement et de promouvoir auprès des candidats qui postulent une image de modernité favorable et profitable au secteur public.
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